Infrabel
Suite à la scission de la SNCB, Infrabel a hérité de la gestion des arrêts de train. Il s’agit des 307 stations qui ne comportent ni locaux, ni personnel. Souvent vétustes, ces arrêts sont signalés par des panneaux pas toujours clairs ou visibles, et les informations pratiques aux voyageurs sont souvent déficientes. La signalétique devait donc être fondamentalement revue, de manière à rendre ces arrêts plus visibles, tout en améliorant l’information fournie aux voyageurs.
